Orologico Forum 3.0

Audemars calibro 2003

ciaca

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Re:Audemars calibro 2003
« Risposta #30 il: Luglio 23, 2015, 18:17:23 pm »
"A megghiu parola è chidda ca un si dici"

erm2833

Re:Audemars calibro 2003
« Risposta #31 il: Luglio 23, 2015, 18:39:03 pm »
L'818 non c'entra, non mischiamo l'oro col ferro :P
Se lo legge Ermanno ti cancella dalla rubrica :D
Ho fatto finta di non aver letto,per una volta.[url]

Come possiamo credere a chi scrive che il presente calibro fu usato anche da PP?
vagliare sempre con le proprie esperienze gli scritti altrui.

PESSOA67

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Re:Audemars calibro 2003
« Risposta #32 il: Luglio 23, 2015, 18:48:57 pm »
I cnc hanno senz'altro migliorato la parte costruttiva, le tolleranze e i conseguenti accoppiamenti che ne derivano. Secondo me progettualmente forse hanno peccato di vera conoscenza orologiera, io non so quale esperienze sono messe in atto ai giorni nostri, che CV ha chi progetta un nuovo calibro? Mi viene immediatamente da dire un CV eccellente, poi però davvero leggi che il 2120 jlc marcia meglio del calibro AP..dove sta l'anello debole? I materiali non credo....

GEKKO

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Re:Audemars calibro 2003
« Risposta #33 il: Luglio 23, 2015, 19:34:22 pm »
Grazie Ciaca

ciaca

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Re:Audemars calibro 2003
« Risposta #34 il: Luglio 23, 2015, 20:06:08 pm »
I cnc hanno senz'altro migliorato la parte costruttiva, le tolleranze e i conseguenti accoppiamenti che ne derivano. Secondo me progettualmente forse hanno peccato di vera conoscenza orologiera, io non so quale esperienze sono messe in atto ai giorni nostri, che CV ha chi progetta un nuovo calibro? Mi viene immediatamente da dire un CV eccellente, poi però davvero leggi che il 2120 jlc marcia meglio del calibro AP..dove sta l'anello debole? I materiali non credo....

Secondo me l'anello debole sta proprio nell'assenza degli orologiai, quelle figure cioè che con intuito dettato dall'esperienza e dalla profonda conoscenza di queste macchine sapevano vedere problemi che nessun cad od operatore moderno sono capaci di individuare. Cose che al computer non si vedono, al computer funziona tutto, poi nella pratica capitano gli inconvenienti e non si riesce più a venirne a capo. O neanche ci si prova visto che l' orologeria é ormai "usa e getta" come mille altri gadget.
"A megghiu parola è chidda ca un si dici"

Re:Audemars calibro 2003
« Risposta #35 il: Luglio 23, 2015, 23:37:13 pm »
Non direi che si tratti dello stesso calibro.
Tutti i calibri manuali ultrapiatti hanno + o - la stessa architettura,per forza di cose.

Quanto ai "dischi volanti" la definizione va ristretta agli ultrapiatti tondi che non presentano anse.


Per quanto possa contare anche io ho avuto l'impressione che non si trattava dello stesso calibro, non è l'architettura dei ponti, ma la posizione delle ruote ad essere diversa.
Non c'è nulla di nobile nell'essere superiore a qualcun'altro.
La vera nobiltà è essere superiore a chi eravamo ieri.
-Samuel Johnson-

ciaca

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Re:Audemars calibro 2003
« Risposta #36 il: Luglio 24, 2015, 00:34:01 am »
La prima foto è una sovrapposizione di un 9ml con un 1003, si vede chiaramente che i centri della ruota dei secondi e di quella di scappamento non coincidono (coppie di rubini cerchiati).
La seconda è una sovrapposizione di un 2003 con un 9ml, si nota abbastanza chiaramente la perfetta corrispondenza di molte delle viti di bloccaggio dei ponti (frecce).
Tenete conto che le foto hanno prospettive diverse quondi piccole incongruenze non sono significative, lo sono quelle macroscopiche come quelle nella posizione della suddette ruote.
Anche i centri dei bilancieri sembrano leggermente disassati.

La mia idea è che non si può parlare di "stesso" calibro, ma che la base di partenza sia il 9ml mi pare abbastanza evidente.
"A megghiu parola è chidda ca un si dici"

erm2833

Re:Audemars calibro 2003
« Risposta #37 il: Luglio 24, 2015, 00:41:21 am »
Per me,ripeto,le differenze sono macroscopiche.
Su una tipologia di movimenti con architettura quasi obbligata.

ciaca

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Re:Audemars calibro 2003
« Risposta #38 il: Luglio 24, 2015, 00:44:39 am »
Per me differenze macroscopiche sono quelle tra un savonnette e un lepine, architetture completamente diverse ma entrambe utilizzabili su qualunque tipologia di calibro, inclusi gli ultra piatti manuali.
« Ultima modifica: Luglio 24, 2015, 00:46:52 am da ciaca »
"A megghiu parola è chidda ca un si dici"

PESSOA67

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Re:Audemars calibro 2003
« Risposta #39 il: Luglio 24, 2015, 10:15:19 am »
Orologiai che non esistono più:

Louis Elisée Piguet (1836-1924) ci-après LEP
LEP né au Brassus en 1836. Il est le 4ème fils de Jean-Michel Etienne, horloger paysan dans le hameau du Bas du Chenit. Son grand-père était parti vers 1774 en France pour apprendre le métier d’horloger, en 1790 il est de retour à Genève ou il est enregistré comme horloger.
LEP épousa Adrienne Golay, ils eurent 2 filles et 5 garçons.
LEP est décédé à l’âge de 88 ans.
L'homme Texte rédigé par les Archives Cantonales Vaudoises
Louis-Elisée Piguet (1836-1924), éminent personnage dans le milieu de l'horlogerie suisse, a fondé et dirigé une entreprise vieille aujourd'hui de 150 ans et qui reste le leader incontesté dans la fabrication de mouvements horlogers haut de gamme. Il a collaboré avec les plus grands de son époque et a participé à l'élaboration de « la Merveilleuse », l'une des montres de
poche les plus compliquées au monde. Elle est exposée au Musée International de l'Horlogerie de La Chaux-de-Fonds.
Louis-Elisée Piguet (LEP) fit son apprentissage chez Henri Golay à Genève. Il y réalisa la première montre de poche avec grande sonnerie et répétition minutes qui ne compte plus que deux corps de rouages au lieu de trois comme précédemment. En 1859, de retour au Brassus afin de prendre en charge le domaine familial, il travaille avec son frère Henri Daniel pour la
maison Louis Audemars. Ils créent ensemble une petite entreprise, spécialisée dans la fabrication d'ébauches et de quadratures. Ils s'associeront plus tard à Ami Lecoultre pour la fabrication de montres terminées, avant de travailler chacun de leur côté, dès 1877. En 1872, Louis-Elisée invente l'isolateur du sautoir des minutes dans les cadratures répétitions minutes. Il publiera ses inventions dans le Journal Suisse d'Horlogerie à partir de 1876. En 1883, il fabrique et vend ses premières horloges, (montre de poche à grande sonnerie, répétition minutes) qui lui vaudront un diplôme lors d'une exposition à Zürich. En 1890, un
ouragan dévastateur détruit son atelier et sa maison. Louis-Elisée achète alors le vieux moulin du Brassus qu'il transforme en appartement et fabrique d'horlogerie. Bénéficiant de l'énergie électrique grâce à la force hydraulique fournie par la source du Brassus, la production devient
mécanisée. La société se développe dès lors très rapidement. Le nombre d'employés augmente régulièrement avec les années, le nombre de clients également. Les toutes premières pièces à sortir de la fabrique sont des répétitions minutes. Suivront des mouvements de montres compliquées en tous genres, des systèmes brevetés, des répétitions quarts et minutes, ainsi que des chronographes, compteurs, rattrapantes, quantièmes perpétuels et simple. Les grandes sonneries quarts et minutes avec mécanismes repassés
deviendront la spécialité de la fabrique.
En 1897, Louis Elisée fait une attaque. Son cerveau sévèrement touché provoquera une paralysie partielle du côté droit. Il continuera malgré tout à travailler. En 1905, il se voit obligé de remettre l'entreprise à ses quatre fils, sa santé ne le permettant plus de travailler correctement. Le 27 juin 1924, Louis-Elisée Piguet décède à l'hôpital, à l'âge de 88 ans. En
février 1905, l'entreprise change alors de nom, elle s'appelle désormais « Les Fils de Louis Elisée Piguet ». La fabrique continue sa production de mouvements horlogers, dans la continuation de ce que son fondateur avait entrepris. Elle se transmet de père en fils jusqu'à son dernier directeur issu de la famille, Jacques Piguet. En 1992, la société intègre le groupe Swatch. La direction de l'entreprise, sous l'enseigne "Frédéric Piguet SA".
Réalisations :
Selon le Grand livre de fabrication, commencé en 1892 (lors du déménagement de son
atelier) et 1914, il est enregistré 460 mouvements compliqués parmi lesquels on trouve 40 pièces dite à « Grande complication » c’est à dire comportant au moins une grande sonnerie, répétition minutes, quantième perpétuel et chronographe.
De ces quarante montres de poche dite « Grande complication » on trouve neuf « Ultra Compliquées »
Ces neuf œuvres d’art horloger permettent de considérer Louis Elisée Piguet comme l’un des plus grands horlogers de son temps, le faisant ainsi entrer dans l’histoire.
En voici deux exemples :
« La Merveilleuse » est antérieure puis réalisée entre 1874 et 1878
Est la première montre dite « Ultra compliquée » réalisée par LEP.
Ce chef d’œuvre a reçu la médaille bronze à l’exposition mondiale de Paris en 1878, elle est aujourd’hui au musée international de la Chaux-de-Fonds. Comme indiqué dans le Journal suisse d’horlogerie de 1884 (page 243) cette montre a été réalisée par Ami Lecoultre en collaboration avec Louis Elisée Piguet. La Merveilleuse dont la fabrication a duré quatre ans, avec ses 25 indications, fonctions, est demeurée pendant plus d’un quart de siècle, la montre de poche la plus compliquée du monde.
En voici la description sur la plaquette de vente :
Montre 20 lignes, à grande sonnerie, sonnant les heures et les quarts automatiquement, permettant de répéter à volonté les heures, les quarts, et minutes. Avertisseur-réveil-matin.
Chronographe avec compteur des minutes et rattrapante, ces mécanismes permettant de faire simultanément plusieurs observations. Double tour d’heures (locale et autre fuseau), aiguille de seconde trotteuse. Quantième perpétuel, indiquant les jours de la semaine, le quantième,du mois, les phases lunaires et l’année bissextile. Remontoir au pendant à triple effet et mise àl’heure double. Aiguille indicatrice du développement du ressort. Echappement à ancre avec balancier compensé (dont la sensibilité aux variations de température est réduite).


PESSOA67

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Re:Audemars calibro 2003
« Risposta #40 il: Luglio 24, 2015, 10:25:01 am »
Leggete questa discussione se volete:

http://mb.nawcc.org/archive/index.php/t-31436.html


ciaca

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Re:Audemars calibro 2003
« Risposta #41 il: Luglio 24, 2015, 14:56:16 pm »
Vi mostro la sovrapposizione di un FP21 e di un VC1003
Si nota anche in questo caso la differente disposizione delle ruote del treno del tempo, in più anche l'architettura del cricco del bariletto è diversa.

La mia personale opinione è che LEP 9ML e FP21 siano tra loro più simili di quanto poi il successivo 2003/1003 non lo sia rispetto ai due precedenti, nonostante le affinità continuino a sembrarmi maggiori con il LEP con il quale condivide la stessa architettura del cricco, sebbene realizzato in unico pezzo per una maggiore resistenza e durabilità, e che è ripresa a sua volta dai primi ultrapiatti da tasca proposti ai primi del 900 proprio da JLC).
"A megghiu parola è chidda ca un si dici"

mbelt

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Re:Audemars calibro 2003
« Risposta #42 il: Luglio 28, 2015, 00:04:17 am »
Orologiai che non esistono più:

Louis Elisée Piguet (1836-1924) ci-après LEP
LEP né au Brassus en 1836. Il est le 4ème fils de Jean-Michel Etienne, horloger paysan dans le hameau du Bas du Chenit. Son grand-père était parti vers 1774 en France pour apprendre le métier d’horloger, en 1790 il est de retour à Genève ou il est enregistré comme horloger.
LEP épousa Adrienne Golay, ils eurent 2 filles et 5 garçons.
LEP est décédé à l’âge de 88 ans.
L'homme Texte rédigé par les Archives Cantonales Vaudoises
Louis-Elisée Piguet (1836-1924), éminent personnage dans le milieu de l'horlogerie suisse, a fondé et dirigé une entreprise vieille aujourd'hui de 150 ans et qui reste le leader incontesté dans la fabrication de mouvements horlogers haut de gamme. Il a collaboré avec les plus grands de son époque et a participé à l'élaboration de « la Merveilleuse », l'une des montres de
poche les plus compliquées au monde. Elle est exposée au Musée International de l'Horlogerie de La Chaux-de-Fonds.
Louis-Elisée Piguet (LEP) fit son apprentissage chez Henri Golay à Genève. Il y réalisa la première montre de poche avec grande sonnerie et répétition minutes qui ne compte plus que deux corps de rouages au lieu de trois comme précédemment. En 1859, de retour au Brassus afin de prendre en charge le domaine familial, il travaille avec son frère Henri Daniel pour la
maison Louis Audemars. Ils créent ensemble une petite entreprise, spécialisée dans la fabrication d'ébauches et de quadratures. Ils s'associeront plus tard à Ami Lecoultre pour la fabrication de montres terminées, avant de travailler chacun de leur côté, dès 1877. En 1872, Louis-Elisée invente l'isolateur du sautoir des minutes dans les cadratures répétitions minutes. Il publiera ses inventions dans le Journal Suisse d'Horlogerie à partir de 1876. En 1883, il fabrique et vend ses premières horloges, (montre de poche à grande sonnerie, répétition minutes) qui lui vaudront un diplôme lors d'une exposition à Zürich. En 1890, un
ouragan dévastateur détruit son atelier et sa maison. Louis-Elisée achète alors le vieux moulin du Brassus qu'il transforme en appartement et fabrique d'horlogerie. Bénéficiant de l'énergie électrique grâce à la force hydraulique fournie par la source du Brassus, la production devient
mécanisée. La société se développe dès lors très rapidement. Le nombre d'employés augmente régulièrement avec les années, le nombre de clients également. Les toutes premières pièces à sortir de la fabrique sont des répétitions minutes. Suivront des mouvements de montres compliquées en tous genres, des systèmes brevetés, des répétitions quarts et minutes, ainsi que des chronographes, compteurs, rattrapantes, quantièmes perpétuels et simple. Les grandes sonneries quarts et minutes avec mécanismes repassés
deviendront la spécialité de la fabrique.
En 1897, Louis Elisée fait une attaque. Son cerveau sévèrement touché provoquera une paralysie partielle du côté droit. Il continuera malgré tout à travailler. En 1905, il se voit obligé de remettre l'entreprise à ses quatre fils, sa santé ne le permettant plus de travailler correctement. Le 27 juin 1924, Louis-Elisée Piguet décède à l'hôpital, à l'âge de 88 ans. En
février 1905, l'entreprise change alors de nom, elle s'appelle désormais « Les Fils de Louis Elisée Piguet ». La fabrique continue sa production de mouvements horlogers, dans la continuation de ce que son fondateur avait entrepris. Elle se transmet de père en fils jusqu'à son dernier directeur issu de la famille, Jacques Piguet. En 1992, la société intègre le groupe Swatch. La direction de l'entreprise, sous l'enseigne "Frédéric Piguet SA".
Réalisations :
Selon le Grand livre de fabrication, commencé en 1892 (lors du déménagement de son
atelier) et 1914, il est enregistré 460 mouvements compliqués parmi lesquels on trouve 40 pièces dite à « Grande complication » c’est à dire comportant au moins une grande sonnerie, répétition minutes, quantième perpétuel et chronographe.
De ces quarante montres de poche dite « Grande complication » on trouve neuf « Ultra Compliquées »
Ces neuf œuvres d’art horloger permettent de considérer Louis Elisée Piguet comme l’un des plus grands horlogers de son temps, le faisant ainsi entrer dans l’histoire.
En voici deux exemples :
« La Merveilleuse » est antérieure puis réalisée entre 1874 et 1878
Est la première montre dite « Ultra compliquée » réalisée par LEP.
Ce chef d’œuvre a reçu la médaille bronze à l’exposition mondiale de Paris en 1878, elle est aujourd’hui au musée international de la Chaux-de-Fonds. Comme indiqué dans le Journal suisse d’horlogerie de 1884 (page 243) cette montre a été réalisée par Ami Lecoultre en collaboration avec Louis Elisée Piguet. La Merveilleuse dont la fabrication a duré quatre ans, avec ses 25 indications, fonctions, est demeurée pendant plus d’un quart de siècle, la montre de poche la plus compliquée du monde.
En voici la description sur la plaquette de vente :
Montre 20 lignes, à grande sonnerie, sonnant les heures et les quarts automatiquement, permettant de répéter à volonté les heures, les quarts, et minutes. Avertisseur-réveil-matin.
Chronographe avec compteur des minutes et rattrapante, ces mécanismes permettant de faire simultanément plusieurs observations. Double tour d’heures (locale et autre fuseau), aiguille de seconde trotteuse. Quantième perpétuel, indiquant les jours de la semaine, le quantième,du mois, les phases lunaires et l’année bissextile. Remontoir au pendant à triple effet et mise àl’heure double. Aiguille indicatrice du développement du ressort. Echappement à ancre avec balancier compensé (dont la sensibilité aux variations de température est réduite).
Ti devo ringraziare molto, perché su come fosse nata Frederique Piguet non avevo idea, non ero certo che centrasse Louis Elysee Piguet, mi fa piacere saperlo. Jacques Piguet è quello che con Biver fa rivivere Blancpain
Contro ogni talebanismo, ora e sempre

PESSOA67

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Re:Audemars calibro 2003
« Risposta #43 il: Luglio 28, 2015, 12:16:42 pm »
Grazie a te Angelo per tutte le volte che mi hai insegnato qualcosa di cui non ero a conoscenza...